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7 octobre 2007 7 07 /10 /octobre /2007 12:02
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De T.C Courrez voir ce film en famille, il restera l’un des derniers témoignages vivants de notre planète. Si après avoir vu ce film votre fibre écologiste n’est pas touchée, alors il n’y aura plus d’espoir pour nous la race humaine. Arrêtons d’être un virus pour notre terre, elle se passerai sans problème de notre présence. Cessons de courir après notre confort qui nous tue plus qu’il ne nous fait de bien. D’une société égocentrique passons à une société ouverte et responsable. Cessons de scier la branche sur laquelle nous sommes assis, tous les signaux d’alertes sont vérifié scientifiquement et sont au rouges et vous faites encore semblant que ce n’est pas votre problème. Le temps nous est compté est cela vous concerne maintenant et non dans deux cents ans.



Un véritable régal pour les yeux

Un jour sur terre nous plonge au cœur de la nature resplendissante de notre belle planète bleue. Partant du Pôle Nord pour parcourir la Terre jusqu’au Pôle Sud, en passant par la toundra, la jungle, le désert… nos yeux et nos esprits voyagent à travers ce monde baigné d’amour et d’hostilité. Le film nous rappelle que la nature fragile peut aussi être mortelle et que l’homme, par son action, ne l’aide pas à être plus douce avec les êtres qui la peuplent. Le comportement humain déchaîne les colères de la nature et déstabilise l’équilibre de notre univers et de celui de la faune, qu’elle soit terrestre ou maritime.

Les neiges de la banquise de l’Arctique fondent à une vitesse toujours plus folle rendant alors la survie de l’ours blanc, devenu symbole du destin tragique de la planète miracle, de plus en plus incertaine. Les éléphants d’Afrique ainsi que leurs camarades les gnous doivent se déplacer durant des semaines afin de trouver l’eau qui se fait de plus en plus rare d’années en années.
Le réchauffement des océans, la fonte des neiges, le dérèglement climatique… les réalisateurs pointent tout ceci du doigt afin de faire réagir le spectateur. Mais le film est bien loin d’être un film catastrophe et catastrophique.
Alastair Fothergill et Mark Linfield s’appliquent à mettre en avant la beauté et les très nombreuses richesses de notre planète. Le soleil, metteur en scène de toute cette vie, mène la danse jour après jour, saison après saison. C’est lui et sa principale alliée, l’eau, qui donnent naissance à ce merveilleux univers qui nous entoure.
La caméra se balade aux quatre coins de la planète, nous révélant des choses plus étonnantes les unes que les autres, et faisant exploser sous nos yeux un nombre impressionnant d’images gorgées de poésie. Les réalisateurs ont aussi voulu mettre en avant la force de certains animaux qui sont prêts à de véritables prouesses pour survivre sur cette planète, loin d’être toujours accueillante à leur égard. On découvrira notamment l’impressionnant voyage d’une baleine à bosse et de son baleineau obligés de parcourir plus de 6000 kilomètres afin d’atteindre les mers du Pôle Sud pour se nourrir.

A travers ces images de rêve, du miracle de la vie, le film veut principalement nous faire comprendre que la planète bleue n’appartient pas uniquement aux hommes. D’autres êtres la peuplent. L’Homme ne peut donc se sentir seul propriétaire de la planète et n’a pas le droit de la piller et la détruire en toute impunité. Voilà donc le seul petit bémol du film. Le message est surtout délivré sur la fin car pendant toute la durée de notre voyage, de l’Arctique aux abords de l’Antarctique, les réalisateurs jouent beaucoup plus avec l’émotionnel, la corde des sensations, que sur l’apprentissage et le côté éducatif qu’aurait pu avoir ce documentaire.
Cela dit, l’avertissement est là. On ressort tiraillés entre l’envie de partir voyager à l’autre bout de la planète et une prise de conscience d’un devoir, que dis-je d’une nécessité, d’action écologique. Mais pourquoi ne pas tenter d’allier les deux ? Découverte du merveilleux monde qui nous entoure tout en le protégeant…A bon entendeur…

Morgane Postaire
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