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  • : ASSOCIATION TERRE CELTIQUE
  • : L'Association Terre Celtique prône les valeurs traditionnelles de la famille, du travail et des cultures ancestrales. Si vous êtes intéressé par le fait de rejoindre une association qui bouge, qui ose manifester son appartenance à la culture Celte et en est fier, si vous aussi en avez assez de subir rejoignez nous afin d'être plus fort, solidaire et unis. Plus qu'une Association nous sommes une famille !!!! Nous vous proposons: Une ambiance qui correspond à vos idées, Des sorties en extérie
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4 juin 2011 6 04 /06 /juin /2011 13:51

La mairie de Bailleul a confirmé l'annulation du concert du groupe anti-Français ZEP, qui n'avait nulle part sa place dans notre pays; voilà donc une victoire pas seulement pour Opstaan mais pour l'ensemble des Français et Européens fiers de leur identité et de leurs racines.

Grâce à la contribution de tous, à la volonté de chacun, et particulièrement de nombre de Bailleulois ayant été mis au courant de cet événement (contrairement à ce qu'on peut entendre dans la presse et à ce que dit la mairie), nous avons une fois de plus prouvé qu'il n'y avait pas de fatalité. Le dogme du déracinement dans lequel on tente de nous enfermer n'a désormais plus sa place, et il trouvera dorénavant face à lui des êtres libres et fiers.

Au vu de cette victoire, Opstaan ne maintient pas la manifestation prévue dimanche. Merci à tous de s'être mobilisés pour défendre notre drapeau. Chaque fois que cela nécessaire, nous serons présents!

PS: Notons que le maire a déclaré que "seule la sécurité a justifié l'annulation du concert, je ne renie rien à mes convictions": annoncer qu'on va niquer la France ne le dérange donc pas.

Articles sortis dans la presse :

 

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OPSTAAN - LA MAISON FLAMANDE - LA MAISON DE L'ARTOIS

Sites internet : www.opstaan.eu ; www.vlaams-huis.com

Contacts : contact@opstaan.eu ; vlaams-huis@hotmail.fr ; lartesienne@laposte.net

Tel. 03 20 92 47 31

Adresse postale : 144, rue Flament Reboux 59 130 Lambersart

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2 juin 2011 4 02 /06 /juin /2011 01:16

" Nique ZEP "

 

Après Courrières (62), c'est à Bailleul que ZEP se voit refuser sa venue.

 

En effet nous apprenons à l'instant que le concert de l'association immigrationniste "FTS" organisé à la ferme de la hulotte, salle municipale, avec la participation du groupe ZEP (auteur de la chanson "Nique la France") est annulé. Nous nous réjouissons de cette sage décision prise par la mairie et les organisateurs. Elle n'est que justice pour le peuple français, insulté et humilié par cette chanson de haine.

 

Cette deuxième annulation prouve que la mobilisation et l'action sont reines en politique. Quand on redonne la parole au peuple, la justice s'impose naturellement. Nous remercions tous nos militants et sympathisants, de Bailleul et de toute la région, qui se sont mobilisés pour faire comprendre aux politiques et à ZEP qu'on ne nique pas impunément la France, son peuple, son Histoire, son identité et ceux qui sont tombés pour sa liberté.

 

Cependant, nous restons vigilants. Car si le concert est annulé à la salle municipale il n'est pas dit qu'il ne serait pas organisé ailleurs. Sans communication officielle de la mairie ou de l'association sur la non-tenue de ce concert dans autre lieu de la ville que ce soit, nous maintenons la manifestation qui doit se dérouler ce dimanche 5 mai à 15h30 à Bailleul.

 

Vous pouvez rester informés en suivant nos actualités sur nos sites :

 

Opstaan

Maison Flamande

Maison de l'Artois

Flandre Presse

 

ou sur facebook

 

Nous apporterons plus d'informations dans la semaine mais on peut déjà dire qu'Opstaan, la Maison flamande et la Maison de l'Artois ont marqué des points une nouvelle fois.

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30 mai 2011 1 30 /05 /mai /2011 20:13

 bailleulmanifzep2

Après nous avoir imposé des camps d'immigrés illégaux, l'association Flandre Terre Solidaire veut nous infliger le groupe ZEP lors d'un concert à Bailleul à la ferme de la Hulotte le dimanche 5 juin. Le groupe ZEP s’est distingué par sa chanson « Nique la France », véritable appel à la haine de notre pays.

Malgré la colère et la mobilisation des Bailleulois, l’association immigrationniste et la mairie qui gère la ferme de la hulotte ont décidé de maintenir le concert.

Face à cette énième humiliation et mépris du peuple, nous appelons à la manifestation devant la ferme de la hulotte dimanche 5 juin à 15h30 pour dénoncer la haine de la France.

Terre Celtique se joint aux divers asociations pour défendre notre pays!
 

 VENEZ NOMBREUX !

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10 novembre 2008 1 10 /11 /novembre /2008 12:49

Loin des clichés et des caricatures, nous avons voulu expliquer notre paganisme et notre rapport au christianisme.

 

Notre paganisme

 

Notre paganisme est un paganisme des bois et de l'enracinement, des fontaines et des nymphes à celui du bruissement sourd des batailles, de celui du chant des fées.

 

Notre paganisme est d'abord poésie, esthétique, exaltation et intuition. En aucun cas chapelle ou instrumentalisation.

 

Le Paganisme n'est ni dissertation savante, ni « connaissances » froides, mais attitudes pour l'action. Il est immersion dans la vie, pratique qui transforme le monde. Ce ne sont jamais les mots qui comptent d'abord, ni les idées, mais les actes concrets auxquels ces idées et ces mots conduisent.

 

C'est la fascination pour la nature sauvage, plus exactement pour la forêt, la mer et la montagne.

 

Le Paganisme s'organise autour de trois axes : l'enracinement dans la lignée et le terroir, l'immersion dans la nature et ses cycles éternels, et une « quête », qui peut être une ouverture à l'invisible comme une recherche aventureuse. En ce sens, le Paganisme est la plus ancienne et la plus naturelle des religions du monde. Il a profondément innervé l'âme européenne. Le paganisme a un caractère authentique car il « relie » les hommes d'une même communauté dans le monde réel et concret.

 

Ce qui signifie que les traits majeurs du Paganisme sont l'union du sacré et du profane, le refus de considérer la nature comme une propriété de l'homme qu'il pourrait exploiter et détruire à sa guise ; l'apologie constante de la force vitale (le « oui à la vie ») ; le sentiment tragique de la vie et le refus de tout nihilisme ; le culte des ancêtres, de la lignée, de la fidélité aux combats, aux camarades, aux traditions ; le refus de tout fanatisme et de tout fatalisme.

 

Le Paganisme réclame de l'homme une maîtrise de soi, un respect des règles de la communauté et de l'ordre vital, intégrés comme « devoirs » nécessaires.

 

Il part du principe que l'humanité est diverse, et nullement destinée à s'unifier. Il suppose une humanité hétérogène composée de peuples homogènes, l'essence du politique étant la constitution de l'homogénéité de la Cité, dans laquelle l'identité se confond absolument avec la souveraineté.

 

Notre paganisme est positif. Nous ne sommes pas anti-chrétiens mais pré-chrétien.

 

Une fois ces principes édictés, quels sont nos rapports avec le christianisme ?

 

Il y a un peu moins de 2000 ans, le peuple païen le plus religieux vivait en Irlande. Il existait une réelle société indo-européenne fondée autour du prêtre, du chevalier et du producteur. Ce peuple s'est converti au Christianisme sous l'impulsion des druides qui "attendaient la venue du Dieu unique en 3 personnes (Père, Fils et Saint Esprit)"?

 

Cette histoire particulière nous prouve que les païens ne peuvent être anti-chrétiens.

 

En effet, on ne peut enlever le Christianisme à l'Europe ; ce serait enlever 90% de notre histoire européenne.


Nous ne pouvons que constater que les plus beaux monuments architecturaux jamais construits par l'Homme l'ont été dans le cadre de la religion catholique : Mont-Saint-Michel, Chapelle Sixtine, Monastère de Gracanica, calvaires bretons, croix celtiques irlandaises…

 

Nous ne pouvons que constater que les plus grands compositeurs de musique européens (Vivaldi, Bach…) ont composé essentiellement des hymnes à la gloire de Dieu.

 

Combien de villages d'Europe portent des noms de saints ? Combien de villages résistent encore aujourd'hui et se retrouvent chaque dimanche au centre de leur communauté à l'Eglise ? Combien de personnes gardent vivantes l'esprit de famille et de communion spirituelle grâce aux baptêmes et au mariage ? Si nous combattions le Christianisme européen, nous nous couperions de 90% de la culture européenne.

Nous ne pouvons nier les apports intellectuels et philosophiques de Saint Augustin, de Saint Jean Chrysostome, de Saint Thomas d'Aquin ou de Pascal. Cela fait partie de notre patrimoine intellectuel.


Nous voyons bien que toutes les attaques contre l'Europe sont avant tout des attaques contre les empreintes du christianisme.

 

La religion catholique incarne également les valeurs traditionnelles européennes de famille, de charité, d'entraide mais aussi de travail et de combat pour ce qui est juste et bon.

 

Nous constatons que l'élan de résistance européen vient des pays de l'Est qui résistent tous les jours avec ses popes et derrière la croix au Nouvel Ordre Mondial (Serbes au Kosovo, Russes en Tchétchénie, Chypriotes contre Turcs…).

 

Nous ne renions pas cet héritage que nombre de nos ancêtres païens ont choisi de suivre. Nous restons cependant fidèles aux croyances premières de nos ancêtres, le paganisme. Nous sommes donc païens mais chrétiens par héritage civilisationnel.

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6 novembre 2008 4 06 /11 /novembre /2008 09:33











Vous pouvez retrouver votre indépendance, et de nouveau diriger votre ville, signez cette pétition et sensibiliser votre entourage !

Attention, il faut être citoyen lommois et être inscrit sur les liste électoral !!!!
pour signer, cliquez sur l'image !!!







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3 novembre 2008 1 03 /11 /novembre /2008 22:23
rétablissement de la commune fusionnée en commune indépendante




Le préfet prescrit l’enquête publique lorsqu’il a été saisi d’une demande soit par le conseil municipal de l’une des communes, soit par le tiers des électeurs inscrits de la commune ou de la portion de territoire en question. A l’issue de celle-ci, une commission syndicale d’habitants est désignée par le préfet. Celle-ci est chargée de donner son avis sur le projet. Après accomplissement de ces formalités, le ou les conseils municipaux intéressés donnent obligatoirement leur avis, puis c’est au tour du Conseil général lorsqu’il y a défaut d’accord de la commission syndicale et du ou des conseils municipaux.

Le préfet prend sa décision en toute liberté d’appréciation, sous réserve de ne pas commettre d’erreur manifeste d’appréciation. La Cour administrative d’appel de Nantes, dans son arrêt « Madame Mauvais et autres » du 27 juin 2003, a considéré que le préfet avait commis une double erreur manifeste d’appréciation en refusant d’ériger en commune distincte une commune associée, sans tenir compte de la volonté affirmée de la population et en se fondant sur une étude financière peu viable.

Conformément au premier alinéa de l’article L.2112-10, les actes qui prononcent les modifications des limites territoriales en déterminent toutes les conditions autres que celles mentionnées aux articles L.2112-7 et L.2112-8 du CGCT. La circulaire du ministre de l’intérieur du 20 avril 1989, interprétant les dispositions du code des communes constituant à présent l’article L.2112-10 du CGCT, précise que « si l’arrêté préfectoral prononçant une défusion doit déterminer les conditions de la scission, notamment financières et patrimoniales, ses dispositions ne doivent pas être interprétées comme conduisant à fixer d’autorité lesdites conditions. Les collectivités doivent débattre librement entre elles de ces modalités que l’arrêté préfectoral entérinera ensuite ».

Le Conseil d’Etat, dans un arrêt rendu le 3 décembre 1993 « Commune de Fauillet », a estimé que ces dispositions n’obligent cependant pas le préfet à fixer les modalités de la modification dans un seul arrêté. Il peut renvoyer le règlement de certaines questions financières et patrimoniales à une convention entre les deux communes, ratifiée par arrêté préfectoral.

Terre celtique demande à tous ses sympathisants désireux de retrouver leur indépendance financière, leur indépendance dans les décisions de la commune et pas seulement de décider de la couleur des poubelles ou autres futilités de soutenir la Maison Flamande.

SOUTENEZ LA DEMANDE DE SIGNATURES AFIN DE DECLENCHER LA PROCEDURE !!!

Nous viendront au devant des citoyens chercher les signatures


un exemple cela est possible:

Les conseils municipaux de Béthune et Verquigneul dissous à la fin de l’année RSS

[Le 6/07 à 10:58]


Les conseils municipaux de Béthune et Verquigneul dissous à la finLa défusion entre Béthune et Verquigneul est lourde de conséquences. Signée mercredi par le préfet du Pas-de-Calais, elle prévoit, notamment, la dissolution du conseil municipal de Béthune et du conseil communal de Verquigneul au 31 décembre. Au 1er  janvier 2008, date officielle de séparation, une délégation spéciale administrera chaque ville jusqu’aux prochaines élections municipales, en mars. Comme partout en France. Pas de changement de côté-là.

PAR ELSA LAMBERT-LIGIER
bethune@info-artois.fr
Faut-il s’aimer pour vivre ensemble ? « On n’est pas obligé de s’embrasser tous les jours sur la bouche. Il suffit d’appliquer les textes de la convention. » Malgré les arguments de Jacques Mellick avancés en 2005, Béthune et Verquigneul divorcent. Après 17 ans de mariage.
Histoires d’hommes ou de chiffres ? Comme en amour, rien n’est simple ! Et comme tout divorce, la procédure s’annonce complexe et dépendra des bonnes volontés des uns et des autres… Première question délicate : le règlement de la question financière. D’ici le 1er janvier, Béthune et Verquigneul doivent se répartir l’actif et le passif de leur vie commune mais aussi d’avant la fusion. Une répartition des équipements, du personnel, des emprunts… Compliqué. « Je redeviens le maire de Béthune. Je suis là pour défendre les intérêts des Béthunois, prévient d’ores et déjà Jacques Mellick. Je serai très ferme sur les prix. » Et si aucun accord n’est trouvé, ce qui n’est pas à exclure ? « Une décision politique sera prise, explique Philippe Lebrun, secrétaire général de la sous-préfecture. Sans doute par le préfet. » L’affaire pourrait alors se terminer au contentieux, comme c’est toujours le cas pour Artois Comm. et la CCNE.
La séparation intervenant moins de trois mois avant les élections, il n’y aura pas de scrutin anticipé. Le voeu de Jacques Mellick est exaucé. A compter du 1er janvier 2008 et jusqu’aux élections municipales prévues en mars, comme partout en France, deux délégations spéciales vont gérer les affaires courantes des deux communes à l’autonomie retrouvée. Leurs compétences : état civil, police, voirie. Mais elles ne peuvent engager les dépenses de la ville, donc aucun chantier ne sera lancé pendant ces deux mois et quelques semaines.
Neutralité

 


Ces deux délégations spéciales seront désignées par le préfet du Pas-de-Calais. Elles comptent trois membres dans les villes de moins de 35  000 habitants. La loi ne fixe aucune condition quant aux choix des délégués mais elle impose aux préfets de veiller à la neutralité de sa composition. «  Traditionnellement, précise Philippe Lebrun, on choisit des fonctionnaires retraités ou en activité qui ont des compétences particulières dans le monde des collectivités locales : des agents de la trésorerie générale, de la préfecture ou de la sous-préfecture… Nous avons plus de 6 mois pour prendre l’arrêté de désignation de ces délégations. Le préfet va prendre des contacts. » La révolution - politique  - est en marche. Mais elle ne s’annonce pas forcément tranquille. •  

Posté sous Artois - Ternois, Municipales

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27 septembre 2008 6 27 /09 /septembre /2008 10:30



   A l’appel du comité de vigilance Antifasciste, terre celtique et son président appellent à manifester et soutenir ce samedi 4 octobre à 14H30 au métro Bois Blanc cette manifestation contre le racisme, l’intégrisme, le fascisme et autres, ne laissons pas les extrêmes s’installer dans nos villes. Terre celtique c’est 0 % RACISME , 100 % identité.

Venez nombreux.

Le président

le bureau
les membres...
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27 décembre 2007 4 27 /12 /décembre /2007 16:37

Image Hosted by ImageShack.usLa longue marche de la Flandre vers son indépendance arrive peu à peu à son terme, et ceci de manière inexorable : aucune force au monde ne peut en effet empêcher le blé de germer au printemps ni les peuples d'exiger la reconnaissance de leur identité, hormis le jacobinisme, qui en 2 siècles a étouffé l'identité des peuples de France !

Des crises politiques qui se succèdent en Belgique, il ressort clairement le refus francophone (1) (d'inspiration bien jacobine !) de concéder toute évolution du pays vers plus d'autonomie régionale. Même les médias francophones de Belgique et de France, qui véhiculent 100% de l'information chez nous, le déplorent ! Bien sûr, les tenants de l'indépendance sont parfois diabolisés comme « extrémistes flamingants », « xénophobes », etc. la litanie lassante et habituelle de l'idéologie française dite « droit de l'hommiste » appelée à la rescousse ! Mais les Flamands, héritiers des Gueux iconoclastes, plus que tout autre peuple en Europe, sont insensibles à cette forme de terrorisme intellectuel qui constitue une chape de plomb étouffante sur la liberté de pensée et d'expression en France. Rien que pour ça, ils sont un exemple à suivre !

La création d'une République Vlaanderen n'est plus qu'une question de temps. Elle est inéluctable si c'est la volonté des Flamands. Elle n'a pas besoin de 2/3 des voix du Parlement belge pour être proclamée ! Cette exigence est une plaisanterie lorsqu'il s'agit de la souveraineté d'un peuple ! La liberté ne se quémande pas, ne se vote pas, elle se prend !

Comme la bourgeoisie francophile (« extrémiste » elle aussi ?) l'a fait en 1830 pour se séparer du Royaume de Hollande !

Et pourquoi la Wallonie ne prendrait-elle pas le même chemin ? Lorsqu'on ne peut s'opposer à un mouvement irréversible, il faut l'accompagner de manière positive et volontaire ! ! Et non pas geindre, subir et y aller à reculons en s'enfonçant dans le ressentiment. Les Wallons ont une identité forte et des potentialités réelles, anéanties par la gestion socialo maffieuse de leur région, qui aimerait bien que l'assistance éternelle se poursuive. Que le peuple wallon fasse énergiquement le ménage chez lui ! Qu'il arbore fièrement ses couleurs pour que le monde le reconnaisse ! Lui aussi est une victime du jacobinisme à la française !

Un divorce clair et franc, sur le modèle de feu la « Tchécoslovaquie », dans lequel les protagonistes se respectent, permettant par la suite des retrouvailles sur des bases saines, est préférable au lent pourrissement actuel qui laissera des traces.

Et pourquoi pas, après-demain, une fois les passions refroidies et les deux « nations » stabilisées, des retrouvailles dans le cadre relooké des 17 Provinces d'antan, avec les Pays-Bas du Nord (Hollande) et les Pays-Bas du Sud (Belgique actuelle et Nord de la France), sans oublier le Luxembourg qui en faisait également partie ? Rêvons audacieusement ! Rêvons éveillés !

« Le sang rampe là où il ne peut marcher debout ! » (vieux proverbe néerlandais)

Quant aux velléités de rattachement à la France exprimées par certains, qui ont l'oreille complaisante des expansionnistes parisiens, cette idée est tout simplement une trahison pour tout patriote grand néerlandais qui connaît son Histoire !

La Belgique n'a jamais constitué une nation, ce qui est une évidence (2) aujourd'hui pour tous les observateurs. Elle est l'adjonction artificielle, voulue par les grandes puissances, après les exactions napoléoniennes en Europe, de pays néerlandophones et de pays romans issus des anciens Grands Pays-Bas ou 17 Provinces. L'unique finalité de ce montage voulu en 1815 par l'Angleterre étant de créer un état tampon sous autorité hollandaise entre la France et l'Allemagne. Celui-ci persistera jusqu'à l'indépendance de la Belgique en 1830.
Dans ce mariage forcé, le peuple minoritaire a voulu imposer sa langue au peuple majoritaire. Il a failli réussir. Il s'en est fallu de peu que toute la Flandre du nord (c'est ainsi que nous Flamands de France désignons l'autre partie de notre patrie) ne soit devenue francophone, comme la Flandre française l'est devenue aujourd'hui après 3 siècles d'occupation !

C'est le petit peuple flamand, avec ses instituteurs, ses curés de campagne, sa petite bourgeoisie enracinée, qui a réagi contre la grande bourgeoisie francophile bruxelloise, contre le Haut clergé catholique, contre ses propres élites francisées (les « Fransquillons »), contre un belgicisme inégalitaire et injuste entre ses composantes. C'est ce véritable nationalisme familial, fier sans être arrogant, qui a permis à la langue et à l'identité flamandes de survivre !

Cette lutte pacifique, mais extraordinairement patiente et déterminée, n'a – soulignons-le – aucun mort à son actif (3) ! Le nationalisme flamand est un nationalisme d'émancipation, énergique certes, mais profondément pacifiste, né dans les tranchées de la 1ère Guerre mondiale, et en réaction contre la répression aveugle qui a touché 1 Flamand sur 10 après la 2nde guerre mondiale. C'est le nationalisme sain d'un petit peuple pour sa liberté, s'inscrivant dans la même lignée que les autres nationalismes du même genre (Irlande, Ecosse, Corse, Slovénie, Pays Baltes, etc.). La comparaison avec l'Irlande est des plus pertinente : les premiers nationalistes Irlandais étaient reçus à coups de cailloux par leurs propres compatriotes à Dublin. Aujourd'hui, l'Irlande – moins peuplée que la Flandre – est un état souverain et le plus prospère d'Europe ! De même, les patriotes flamands longtemps incompris et considérés comme des parias chez eux, sont en train de récolter les fruits de leur courage et de leur abnégation. Ils méritent un profond respect.

[Il est plaisant d'ailleurs d'entendre des Français donner des leçons de « vivre ensemble » aux Belges alors que les émeutes raciales de plus en plus sanglantes se succèdent chez eux ! Il est tout aussi plaisant de les voir faire semblant de croire qu'en parlant 2, et même 3 langues, « les Belges ne se comprennent pas » alors que les Français, qui n'en parlent qu'une seule, se comprennent encore moins et vivent dans un climat latent de guerre civile !]

Image Hosted by ImageShack.usReste l'épineuse question bruxelloise. La capitale, à 90% néerlandophone en 1830, est aujourd'hui à 80% francophone, la moitié de ces francophones étant composée de ressortissants Marocains, Congolais, et autres non européens. A partir de 1830, la bourgeoisie francophone au pouvoir éradiquera peu à peu la langue du peuple dans les administrations, la vie publique, la presse, l'enseignement, puis la vie quotidienne. Les Flamands de Bruxelles se franciseront au point aujourd'hui de parfois se renier en tant que Flamands et de constituer une bonne partie des troupes francophones hostiles à leurs propres ancêtres ! (« Ils dansent sur les os de leurs ancêtres » comme on dit dans notre Westhoek). Puis, depuis une trentaine d'années, devant l'insécurité croissante existant dans la capitale, beaucoup de ces « francisés » (4), officiellement désignés de manière aberrante, mais combien révélatrice, sous le nom de « Communauté française de Belgique » ( !), iront s'installer dans les villes et villages flamands de la banlieue bruxelloise, plus sûrs. Au point aujourd'hui d'y être parfois numériquement majoritaires et d'exiger que tout le monde parle français autour d'eux ! Comme si un citoyen allemand refusait de parler en français avec les autorités en France ! C'est le comportement du coucou prédateur qui expulse du nid son occupant légitime, selon le principe « ce qui est à moi, m'appartient, et ce qui est à toi est négociable ! ». Cette arrogance des francophones à toujours vouloir adapter le pays où ils s'installent à eux-mêmes est insupportable. Nous Flamands de France parlons en connaisseurs ! Nous sommes aujourd'hui considérés comme une minorité CHEZ NOUS ! Une « Communauté » parmi d'autres ! La Flandre est un Kosovo en devenir dont nous serions les Serbes…! Ceci, dans l'indifférence absolue, voire l'hostilité sourde, des défenseurs des Droits de l'Homme, pour qui les Peuples sont des résurgences réactionnaires du passé, qu'il faut dissoudre dans le métissage forcé et l'uniformisation avec l'appui de lois liberticides pour les tenir en silence !

Les Flamands du nord doivent impérativement être fermes sur Brussel/Bruxelles, sous peine de voir la tâche d'huile francophone (et l'idéologie jacobine consubstantielle à cette langue !) s'étendre progressivement à toutes les villes de Flandre jusqu'au Littoral !

Ils doivent peut-être aussi admettre qu'on peut être Flamand et francophone. J'y reviendrai.

« De taal is niet gans het volk ! », « la langue n'est pas tout le peuple ! » (JM GANTOIS)

Si la langue constitue le facteur essentiel de l'identité d'un peuple, elle n'en constitue pas le facteur unique. Font aussi partie de notre identité flamande: les peuples fondateurs communs (Germano-belges, Saxons, Francs Saliens, Frisons, etc.), 15 siècles d'Histoire partagée, la géographie, les paysages, le climat, l'architecture, la gastronomie, les traditions et fêtes populaires, le système de valeurs, la conception du monde, les caractéristiques sociologiques, démographiques, religieuses, la même émotion devant le même drapeau, notre Lion des Flandres, etc. Et surtout cet indéfinissable sentiment d'appartenance commune qui n'a pas besoin de langue pour s'exprimer !

La réduction d'une identité à une langue s'appelle le « réductionnisme linguistique » et constitue une caractéristique typiquement jacobine, qu'on trouve aussi parfois chez les Flamands du Nord, et nous le déplorons, même si nous le comprenons. En fonction de ce principe, un « non européen » immigré à Antwerpen/Anvers, parfaitement néerlandophone serait « flamand » alors qu'un Van Den…quelconque d'Hazebrouck ou de Steenvoorde (…ou de Brussel/Bruxelles !) ayant perdu l'usage de la langue de ses ancêtres ne le serait plus ? Toujours en fonction de ce principe, lorsque le dernier locuteur flamandophone du Westhoek aura disparu, est-ce à dire que la Flandre et le peuple flamand de France auront totalement disparu ? Absurde !

Cette idée d'Etat-Nation (un peuple, une langue), est un héritage de la Révolution française qui a pollué nos régions septentrionales où le bi- et le multilinguisme ont toujours été naturels. « L'homme qui parle deux langues vaut deux hommes » aimait à proclamer notre Empereur Charles Quint ! Les francophones qui l'ont oublié en refusant de parler la langue majoritaire de leur pays, paient aujourd'hui l'addition.

Et nous n'évoquons même pas l'intérêt pratique de la langue néerlandaise également méprisé par les monolingues français auto satisfaits ! Cette langue, plus ancienne que le français et comportant 4 fois plus de mots que celle-ci, est une formidable introduction à l'anglais et à l'allemand. Les jeunes Flamands d'aujourd'hui figurent parmi les meilleurs polyglottes du monde avec les Luxembourgeois, ce qu'on ne peut pas dire de la majorité de leurs homologues francophones ! C'est aussi une des clefs de la prospérité flamande dans un monde sans frontières !

Nous avons souvent cité ces phrases du poète tchèque Milan HÜBL tant elles reflètent la réalité :
« Pour liquider les peuples, on commence par leur enlever la mémoire. On détruit leurs livres, leur culture, leur histoire. Puis quelqu'un d'autre leur écrit d'autres livres, leur donne une autre culture, leur invente une autre histoire. Ensuite, le peuple commence à oublier lentement ce qu'il est, et ce qu'il était. Et le monde autour de lui l'oublie encore plus vite ».

Voilà résumé l'ethnocide culturel subi par le peuple flamand depuis 3 siècles. Cette épuration sournoise se poursuit de nos jours : interdiction de l'enseignement du flamand et de l'Histoire régionale, suppression en 2006 de la formation de professeurs de néerlandais à l'Université de Lille, décision en novembre 2007 du conseil municipal de DUINKERKE/DUNKERQUE de débaptiser le Collège Michel DE SWAEN (5) pour l'appeler Collège Lucie Aubrac, etc., sans compter l'épuration héraldique à Lille, capitale de la Flandre française, où les drapeaux flamands ont quasiment disparu des monuments publics. Nous pourrions détailler interminablement cette litanie négatrice de l'identité flamande, qui s'inscrit aujourd'hui dans une obsession anti identitaire généralisée !

Il s'agit pour Paris et ses valets locaux de supprimer toute référence flamande en Flandre du sud !
Les Flamands de France n'ont plus rien à attendre de la marâtre française qui ne les a jamais reconnus, et ceci est vrai pour l'ensemble de la Région des Pays-Bas du sud ou « français », dite « norpadcalé ou 59-62 », où les signes de déclin s'accumulent : records de France de chômage, d'illettrisme, de bénéficiaires de minima sociaux, de mortalité infantile, d'alcoolisme, de cancers, de pollution, de sous équipement sanitaire, servilité de l'ensemble de la classe politique qui passe son temps à geindre pour demander des aides diverses à Paris, alors qu'il s'agit de notre propre argent ! Cette servitude des élus déculturés et amnésiques, plombe notre région depuis trop longtemps ! Beaucoup d'entre nous envient cette Flandre du Nord si proche, à l'économie dynamique, aux performances scolaires parmi les 5 meilleures du monde selon les enquêtes annuelles de l'UNESCO (enquêtes PISA) et à la qualité de vie bien connue des habitants de la Région qui s'y déplacent en masse chaque week end.

Il existe une corrélation incontestable entre l'émancipation d'un peuple, c'est à dire la libération de son génie propre, son bien être et sa prospérité économique ! Nos responsables régionaux gagneraient à y réfléchir sérieusement !

On ne s'étonnera donc pas à Paris que les Flamands de France se tournent de plus en plus vers le nord et y trouvent des motifs de fierté et l'opportunité d'une véritable patrie charnelle à aimer !

Il reste une question essentielle, souvent posée, celle de l'identité flamande en France : qui est Flamand et qui ne l'est pas ? Faut-il parler flamand pour se prétendre flamand ? Nous y avons répondu en partie en dénonçant le piège du « réductionnisme linguistique ». Nous pourrions compléter par une réponse plus générale : est Flamand tout natif de parents flamands, issus de la Flandre française qui s'étend de Dunkerque à Douai, même s'il existe de grosses différences entre le Westhoek de langue flamande, et la Flandre lilloise de langue romane (cf. : la Bretagne avec sa partie bretonnante et sa partie de langue gallo). Ceci est la définition minimale, incontestable d'un point de vue historique.

Mais nombreux sont aussi ceux qui étendent cette définition à une bonne partie de l'Artois et du reste de la Région, voire jusqu'à la Somme, c'est-à-dire jusqu'à la plus grande extension du Comté de Flandre. Nous aimerions compléter : est Flamande toute personne « qui se sent Flamande, de racines flamandes », qui ressent au profond d'elle même un sentiment d'appartenance et de fidélité à un pays, la Flandre, à ses paysages, à sa culture, à son peuple, qui soutient les luttes de celui-ci, y compris pour la langue néerlandaise consubstantielle à l'âme flamande, même si cette personne ne le parle pas elle-même !
Un Flamand, même unilingue francophone, qui serait hostile à la langue historique flamande ne mériterait certainement pas le qualificatif de Flamand !

La langue est un obstacle relatif : chacun a pu expérimenter la bonne volonté des « Flamingants » belges les plus déterminés vis-à-vis de quiconque faisait un petit effort pour placer, même maladroitement, quelques phrases en néerlandais ! La réponse se faisant même, dans ce cas là, souvent en français ! Quant à s'afficher comme « Flamand de France », en prime, cela fait immédiatement tomber toute barrière de méfiance pour faire place à une solide convivialité !

Ce point de vue est celui des « Flamands de France » enracinés qui ont conservé une conscience historique, …à ne pas confondre avec certains « Français de Flandre » enfermés mentalement dans leur ghetto hexagonal, derrière la sacro sainte « frontière » et convertis aux Lumières parisiennes.

Nous sommes dans une partie de bras de fer où l'ennemi n'est pas le voisin, mais le système jacobin qui règne aussi bien en France qu'en Belgique, un système négateur de peuples, complice d'un mondialisme dont les ravages sur la diversité des peuples se font de plus en plus sentir.

La proclamation, aujourd'hui possible, d'une « Republiek Vlaanderen - République de Flandre » aura INEVITABLEMENT des répercussions pour nous Flamands de France. Un tel Etat, duquel ne nous sépare aucune frontière naturelle, dont les habitants se nomment Vlamingen/Flamands, comme nous, avec lequel nous partageons 15 siècles d'Histoire, une identité culturelle quasi identique malgré 3 siècles de francisation à outrance, et le même drapeau depuis 1162 , ne pourra que nous attirer et nous rendre la fierté de notre identité profonde.

En effet, nul ne peut contester le fait que nous appartenons aussi à l'ethnie flamande d'Europe !

De même, le Hainaut du Sud est appelé à rejoindre le Hainaut du Nord dans une future fédération wallonne ou autre organisation politique à définir. Les frontières éternelles n'existent que dans les cerveaux des despotes et des mégalomanes, jacobins et fauteurs de guerres par définition !

Le respect de la diversité des peuples porte un nom : FEDERALISME ! Ce principe doit fonder l' « Europe aux 100 drapeaux » que nous appelons ardemment de nos vœux.

Régis DE MOL
Président de l'Alliance Régionale Flandre Artois Hainaut
Lille en Flandre, le 27 décembre 2007

1- Le terme « francophone » sera utilisé de préférence au terme « wallon ». Le peuple Wallon, qui a toute notre sympathie en tant que peuple et nation en devenir, n'est nullement visé par cet article, hormis ses éléments qui veulent trahir en demandant l'annexion de leur pays à la France !

2- Court florilège de la conception fransquillonne de la « Nation » Belgique : « Il faut que l'offensive belge ait comme but principal de faire massacrer le plus de Flamands possible » écrivait le rédacteur en chef du journal « La Nation Belge » pendant la 1ère guerre mondiale, ou encore : « il y a deux races en Belgique, l'une pour commander, l'autre pour travailler, et on les distingue par la langue utilisée » (Cardinal MERCIER), le même qui proclamait dans ses lettres épiscopales : « la Belgique sera latine ou ne sera pas ! ». Même si ces citations datent, elles témoignent d'une arrogance francophone toujours présente et d'un sentiment d'humiliation qui n'a jamais totalement disparu chez les Flamands. Et en aucun cas d'une volonté de construire une « Nation » commune !

3- La criminalité belge aujourd'hui n'est ni le fait des Flamands, ni celui des Wallons !

4- Les Bruxellois sont pour la majeure partie des Flamands ! Des Flamands francisés, mais des Flamands ! Pour nous Flamands de France, un peu dans la même situation, ceci ne se discute pas. Un peuple ne change pas de constitution ethnique en changeant de langue ou de propriétaire ! Les colonialistes qui le croyaient, en Indochine et en Algérie, ont été justement chassés de ces pays, et souvent en langue française !

5- Michel DE SWAEN, contemporain de Jan Bart (Jean Baert) et dunkerquois comme lui, est un des princes des lettres néerlandaises, le « Corneille flamand », dont l'œuvre est étudiée dans les écoles et les universités flamandes, néerlandaises et sud africaines. A Dunkerque, sa ville natale, dont il fut aussi l'un des magistrats, il est quasiment inconnu et aujourd'hui jeté aux orties : Mémoire française contre Histoire de Flandre, nous devons comme toujours nous taire !

 

« Là où il y a une volonté, il y a un chemin !»
Willem Van Oranje/Guillaume d'Orange

 

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20 novembre 2007 2 20 /11 /novembre /2007 22:41

Ce samedi 17 novembre en soutien au Voorpost,Terre Celtique a soutenu une messe et une manifestation contre l’avortement à Lille prés du planning familial.

Nous rappelons que nous sommes païens mais nous préférons un catholique chez lui, plutôt qu’un musulman intégriste chez nous. Tant que ces gens feront rempart, avec les moyens dont ils disposent, face à toutes les dérives religieuses et autres, nous serons là afin de soutenir, par notre présence, les catholiques qui auront, comme ce samedi, le courage et la foi pour se faire injurier et rester dans la dignité subissant le froid qui mordait les visages pendant plus d’une heure.

Notre position sur le sujet de l’avortement est claire ; elle n’est pas religieuse mais plutôt politique et économique.

En effet, nous allons développer une idée qui pourrait faire son chemin et ne pourra être taxée de fascisme et autres.

En France il y a actuellement 240 000 avortement pratiqué, près de 40 000 familles sont en attente d’adoptions et doivent se tourner vers une adoption internationale pour X raisons.

 

« L'adoption dans les Hauts-de-Seine

Lors de l'assemblée du 25 mars 2005, le conseil général a approuvé le principe de la création de la Maison de l'adoption, qui offrira un appui aux parents candidats à l'adoption internationale, avec une action particulière pour les adoptions d'enfants en provenance de Russie. Les partenaires de l'adoption participent directement à la mise en place des modalités de création de cette Maison de l'adoption »

http://solidarite.hauts-de-seine.net/portal/site/solidarite/adopter/adoption-enfant/899/455d7ad984233010VgnVCM100000860aa8c0RCRD.vhtml

Texte complet.

 

250 000 immigrés rentrent sur le territoire Français coûtant chaque année par immigré (légal ou illégal) et par an 100 000 € en coût direct et indirect.

 

 « Coût de l'immigration : les calculs de 5 économistes renommés

Ces dix dernières années, trois études majeures ont été réalisées sur le coût de l'immigration. Toutes trois arrivent aux mêmes conclusions: chaque année, les étrangers coûtent à la nation plus de 30 milliards d'euros. Net de leur contribution à la société via impôts et cotisation sociales.

 

« Il ressort que chaque immigré qui franchit la frontière (250 000 par an) coûte 100 000 euros par an à la collectivité nationale, soit vingt fois plus que les Corses.[…] Nous rejoignons ainsi les calculs de Maurice Allais, prix Nobel d’économie, qui estimait voici plusieurs années à quatre fois son salaire annuel le coût d’installation d’un immigré. A ceci près que M Allais estimait qu’il s’agissait d’un coût effectué une fois pour toutes alors qu’il s’agit ici d’un coût annuel. »

 

 

Donc fort de ce constat pourquoi ne pas interdire l’avortement par une loi et prendre en charge ces femmes qui, soyez en sur, ne restent jamais intactes à la suite un tel acte. (Voir texte suivant)

 

La vérité sur l’avortement aujourd’hui – Sabine Faivre

Le nombre d’avortements ne cesse de croître en France, mais quel est l’impact psychologique de l’avortement auprès de toutes les personnes impliquées dans cette pratique ?

Enquête dans les hôpitaux
Pendant plusieurs mois, Sabine Faivre a mené une enquête au sein de l’hôpital ; elle a observé de façon « neutre » et écouté les personnes, de l’assistante sociale au médecin, des femmes et des couples concernés aux conseillers conjugaux et aux équipes d’infirmiers ; elle a ainsi retranscrit la réalité vécue aujourd’hui par chacun des acteurs1.

Des acteurs isolés

Chacun est le maillon isolé d’une chaîne, sur laquelle il a souvent le sentiment de n’avoir aucune prise, et qui peut le contraindre à des choix qui transgressent sa liberté de conscience ; chacun tente aussi de se protéger à la mesure de ses moyens, le plus souvent en se blindant derrière un mur de silence et de mensonge pour ne pas reconnaître l’échec de la loi sur l’IVG. A tous les niveaux, les témoignages sont souvent poignants et si beaucoup de personnes ont le sentiment de bien faire, l’atmosphère générale qui règne est celle d’un lieu où le désespoir et la mort ont finalement le dernier mot ; certains médecins avouent « nous, on croit servir, alors qu’on enfonce », « l’IVG, ça peut bousiller complètement une femme (…) mais on n’a pas le choix »…

Quel accompagnement ?
L’enquête menée par Sabine Faivre montre surtout l’immense solitude et le manque d’information des femmes qui avortent : vouloir dissuader une femme d’avorter, ne serait-ce qu’en présentant les alternatives à l’avortement, les aides possibles… c’est courir le risque de tomber sous le coup d’une poursuite pénale. Si tout le monde sait intimement que « l’après IVG » sera douloureux, l’assistante sociale qui se risquerait à aborder le sujet, dans un but d’information, pourrait être accusée d’avoir voulu dissuader la femme, alors que ce défaut d’information est ressenti comme une entrave à la liberté de choisir. « Une femme enceinte en détresse qui hésite, c’est un peu comme un grain de sable risquant de gripper l’engrenage ; dans ces conditions, il vaut mieux ne pas perdre trop de temps », raconte une assistante sociale. Depuis que la loi a inscrit le délit d’entrave à l’IVG dans le code pénal, les acteurs sociaux savent qu’ils n’ont pas le droit d’intervenir. La difficulté s’accroît avec une disposition de la dernière loi : depuis le 4 juillet 2001, les femmes peuvent même venir avorter sans entretien préalable avec les assistantes sociales.

A la limite de la maltraitance
L’auteur raconte la souffrance de mineures qui ont avorté sous la contrainte et la pression de leur famille ou d’un tiers, alors qu’elles désiraient garder leur enfant ; depuis que l’incitation à l’avortement n’est plus un délit condamnable, comment distinguer l’incitation de la contrainte lorsqu’il s’agit d’une personne vulnérable et dépendante ?

 

Mensonge et tabou
A tous les niveaux, on rencontre un énorme mensonge :
- mensonge sur les raisons : les femmes avancent l’argument économique pour ne pas reconnaître qu’elles sont incapables de gérer leur sexualité et leur fécondité ;
- mensonge sur la réalité de l’acte : certaines équipes préfèrent l’IVG chirurgicale parce qu’elles voient la femme partir au bloc et revenir presque dans le même état ; elles n’ont rien vu, rien entendu, cela leur permet de gommer l’événement. « Les femmes qui vivent l’IVG sous RU 486 le vivent encore plus mal, parce qu’elles assistent à leur avortement en direct ; elles récupèrent elles-mêmes les débris de l’avortement » ;
- mensonge sur les conséquences : la souffrance liée à l’avortement est taboue, elle n’est pas reconnue dans notre société. Pourtant, les femmes qui consultent pour un suivi post-IVG savent que pour parvenir à dépasser leur souffrance et à se reconstruire, il leur faudra apprendre à nommer l’enfant perdu.

En résumé, l’IVG est vécue comme un drame totalement isolé : isolé en amont des alternatives qui pourraient permettre de l’éviter, et isolé en aval des propositions d’écoute et d’accompagnement qui pourraient permettre de le soigner. Tel qu’il est conçu, le dispositif ressemble à une sorte d’entonnoir dans lequel les individus n’ont d’autre choix que s’y engouffrer. Tous reconnaissent que l’échec contraceptif mène à coup sûr vers l’avortement. Devant l’urgence à agir, la solution ne serait-elle pas dans l’éducation à une sexualité responsable qui aurait l’avantage d’être au service des hommes, dont on parle peu, autant que des femmes ? 

1. La vérité sur l’avortement aujourd’hui, Sabine Faivre, ed. Téqui, 2006

 

Hausse parallèle et continue de l’avortement et de la contraception en France

Nombre record d’IVG en 2004
Une récente étude de la DREES1 indique que le nombre d’avortements ne cesse d’augmenter en France, pour atteindre 210 664 en 2004 (dernière année recensée), soit une hausse régulière de 1,8% par an depuis 1995. La part des IVG médicamenteuses continue de croître (elles représentent 42% en 2004, 38% en 2003) et surtout le nombre d’avortements chez les mineures est en constante augmentation depuis 1990 et atteint 11 500 en 2004, soit une jeune fille de 15-17 ans sur cent.

De la contraception à l’IVG
En parallèle, les méthodes contraceptives sont largement utilisées. 71% des personnes concernées y ont recours, 68% des 15-19 ans déclarent prendre la pilule et 56% recourir aux préservatifs. En outre, la « contraception d’urgence » s’est très fortement développée depuis 1999, date à laquelle elle est devenue accessible en pharmacie sans prescription médicale. Depuis 2000, elle peut être distribuée par les infirmières scolaires ; et depuis 2002, elle est gratuite en pharmacie pour les mineures. Plus d’un million de comprimés de Norlevo ont été vendus en 2005, soit six fois plus qu’en 1999 ; mais dans 7,5% des cas, la prise d’une « contraception d’urgence » n’a pas suffi à éviter une grossesse. Rappelons que selon la période du cycle féminin où elle est prise, soit elle empêche que la fécondation ne se réalise et a un effet contraceptif, soit, comme certains le pensent, elle agit en empêchant la nidation de l’embryon déjà conçu et a alors un effet abortif.

La hausse du nombre d’IVG ne semble donc pas s’expliquer par une moindre utilisation des contraceptifs, bien au contraire. Et une étude de l’Inserm, De la contraception à l’avortement, sociologie des grossesses non prévues2, le confirme en indiquant que ¾ des grossesses non prévues sont interrompues par une IVG.

Il est donc illusoire de croire que la contraception comme la « pilule du lendemain » peut endiguer l’avortement ; bien au contraire, cette étude confirme que le développement d’une mentalité contraceptive conduit à toujours plus d’avortements. 

1. Les IVG en 2004, DREES (Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques), Ministère de la santé, Etudes et résultats n°522, sept. 2006

2. De la contraception à l’avortement, sociologie des grossesses non prévues, Questions en santé publique, N. Bajos, M. Ferrand et équipe GINE, Inserm, 2002

 

En conclusion, nous pourrions récupérer les 39 milliards d’euros par an que nous coûte l’immigration direct et indirect afin d’aider ces 220 000 femmes par un programme de financement  social et de soutien psychologique les prenants en charge totalement jusque l’accouchement. A ce niveau nous sommes sur qu’une partie non négligeable changerait d’avis et serait désireuse de garder leur enfant (avec un réel suivi financier). De plus, pour les enfants restants, ceux-ci seraient mis à la disposition du service social et nos 40 000 familles désireuses d’adopter un ou plusieurs enfants auraient enfin le choix d’adopter chez nous plutôt que de ce tourner vers l’étranger. Ceci  faciliterait les démarches d’adoption pour ces enfants survivants.

Enfin, en soutenant la politique de survie des 220 000 enfants nous réglerions le problème du vieillissement de la population pour quelques années sans avoir besoin de faire rentrer 250 000 étrangers venus soit disant apporter une nouvelle jeunesse.

 

celte59

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30 mars 2007 5 30 /03 /mars /2007 18:33

  Vous aurez bien compris qu'à la vue des premiers articles mis en ligne sur ce site, que perdre, diluer, ou vendre son identité est source de déstabilisation des nations; il est dommageable pour nous français d'accepter une culture venant du néant et sans passé historique à part celle de leur quartier. Il est normal que ceux ci cherchent à imposer leurs nouveaux mode de vie car dans leurs pays d'origines ils ne sont pas reconnus et chez nous ils ne se sont pas assimiler, ils ont vécu en cherchant désespérément leur identité prenant une partie de celle de leurs origines afin de ne pas froisser la famille et une partie de la notre, et ce, en totale contradiction avec leur culture d'origine. Il en résulte des hommes et des femmes avec une vision de la moralité, du droit et des valeurs restreintes à leurs propres désirs du moment.

 

  Il est vrai que le temps fera son oeuvre mais jamais on ne construira des citoyens fiers de leur passé car ils passeront leur vie à se chercher, seul moyen pour eux de vivre en harmonie avec leur mode de vie mutant et de nous imposer par tous les moyens mis à leur disposition leur façon de vivre et de concevoir les choses. Les divers gouvernements n'ont jamais eu le courage de régler définitivement ce problème humain pourtant simple à gérer. 

 

  L’Etat modifie nos lois et impose à la majorité silencieuse de cette nation des nouvelles règles, afin d’éviter que les médias et les intellectuels ne mettent le doigt sur le fait que nous même subissons ses transformations dans notre vie de tous les jours, que notre propre liberté d'exister se restreint comme peau de chagrin et que nous allons lentement vers un état répressif. Etat qui va nous museler afin de ne pas froisser ses minorités. Museler car lâche de s'exprimer, peur de souffrir et de perdre un petit confort qui ne dépassera pas votre propre vie, nous laisserons à nos enfants ce cadeau empoisonné avec des générations vide de toute valeur et de force pour résister à cette minorité qui  a bien compris depuis longtemps que la violence résous beaucoup de choses dans ce pays.  

 

  Pour éviter, et n'ayons pas peur des mots, un choc des cultures voir une déstabilisation complète de notre nation, reprenons la parole , l'état c'est nous ! La rue appartient à celui qui y descend, alors descendons leur dire non, leur dire que nous voulons élever nos enfants dans nos traditions et notre culture et que c'est à eux de s'assimiler et d'aimer ce pays.

 

  En un dernier mot, c’est à eux d'être fier de devenir ou d'être Français et d 'épouser nos traditions , notre culture, et notre drapeau !!!

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